"On y laisse une santé de fous"... Le Top des déclas de la 2e journée

  • Damien Traille, arrière de Pau
    Damien Traille, arrière de Pau
  • Laurent Labit (Racing 92) - 7 août 2015
    Laurent Labit (Racing 92) - 7 août 2015
  • Florian Denos, l'arrière d'Oyonnax
    Florian Denos, l'arrière d'Oyonnax
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TOP 14 - Le soulagement de Traille, la colère d'Ibanez ou l'hommage de Trinh-Duc concernant l'accueil des Palois... Petit tour des meilleurs déclas de la 2e journée.

Fabien Gengenbacher (arrière et capitaine de Grenoble)

Ils nous ont marqués physiquement, ils nous ont agressé dans les rucks. Il y a eu trop d'approximations et d'indiscipline pour espérer s'imposer.

Marc Giraud (troisième ligne d'Agen)

Nous avons dépensé beaucoup d'énergie pour mettre 6 points et on leur en offre 14 sur ces deux touches à cinq mètres de notre ligne. C'est un peu rageant. [...] Mais c'est malgré tout encourageant, on est dans le vrai et on va vite apprendre.

Damien Traille (arrière de Pau)

Ne tombons pas dans l'euphorie. On sait bien que la saison va être longue et on ne doit pas continuer à jouer aussi souvent en infériorité numérique. On y laisse une santé de fous.

François Trinh-Duc (demi d'ouverture de Montpellier)

Quand je suis rentré (50e minute), le public palois m'a procuré un énorme plaisir. C'était une belle ovation.

Laurent Labit (coentraîneur du Racing 92)

On avait travaillé toute la semaine mais on n'a pas été capable de faire ce qu'on avait décidé, par manque d'investissement ou de motivation, peut-être, parce qu'on craignait peut-être moins cette équipe que Toulon la semaine dernière (victoire 27-22 à Mayol).
Laurent Labit (Racing 92) - 7 août 2015
Laurent Labit (Racing 92) - 7 août 2015

Patrice Collazo (manager de La Rochelle)

Si on repart avec quatre points, ce n'est pas un hold up, ni une connerie de le dire. On peut mériter de gagner, on s'en est donné les moyens.

Raphaël Ibanez (manager de Bordeaux-Bègles)

On peut parler de stratégie, de tactique mais il y a aussi eu un manque dans l'état d'esprit. Certains joueurs ont marqué des points d'autre non. On a pris une bonne leçon sur l'engagement.

Florian Denos (Oyonnax)

On voulait marquer le coup à Mathon et démontrer que nous avions toujours notre âme et notre identité. Beaucoup de choses ont changé mais le plus important était que tout le monde tire dans le même sens.
Florian Denos, l'arrière d'Oyonnax
Florian Denos, l'arrière d'Oyonnax

Nicolas Godignon (entraîneur en chef de Brive)

Ce soir (samedi), le but c'était de lancer la saison, il fallait être performant et battre le champion de France, qui avait une équipe plus que compétitive avec des joueurs de grand talent derrière.

Gonzalo Quesada (manager du Stade français)

Il y avait très peu de chances de gagner. On savait que ça allait être dur. Après, on ne savait pas à quel point on allait avoir des problèmes.
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