Zirakashvili: "Le nouvel entraîneur ? Nous n’en parlons pas"

Par Rugbyrama
  • Davit Zirakashvili - 19.01.2013 - Llanelli Scarlets-Clermont
    Davit Zirakashvili - 19.01.2013 - Llanelli Scarlets-Clermont
Publié le Mis à jour
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De retour à l’entraînement, Davit Zirakashvili postule pour la réception de Bordeaux-Bègles, ce dimanche (12h30). L’occasion de revenir sur son début de saison gâché.

Quelle était la nature exacte de votre blessure au mollet, qui vous a tenu à l’écart des terrains cinq semaines?

Davit ZIRAKASHVILI: C’était une élongation du muscle solaire, dans le mollet. C’était assez pénible et long à cicatriser. Ce n’est pas à proprement parler une grosse blessure mais qui nécessite du temps. Et puis, pour un joueur, commencer la saison en étant déjà blessé, c’est un cauchemar. Surtout, pour un pilier, cette blessure est vraiment gênante. Pendant les mêlées, on est toujours sur la pointe des pieds. Ce geste était douloureux.

Une blessure si tôt dans la saison peut-elle remettre en cause le travail de préparation physique effectué pendant l’été?

D.Z.: On a tout fait pour que ce ne soit pas le cas. J’ai effectué beaucoup de séances de cardio pendant ma période d’indisponibilité. Ma journée commençait une heure avant les autres et je travaillais sur les machines, au club. Mais aucune machine ne remplacera jamais un match. Il faut enchaîner pour être en forme. J’espère que désormais, tout sera OK.

Quand avez-vous repris l’entraînement complet?

D.Z.: Mardi, la semaine dernière, je suis revenu aux entraînements collectifs. D’abord sans trop forcer. A compter de jeudi, avec tous les joueurs qui ne participaient pas à la rencontre à Montpellier, j’ai repris l’entraînement collectif à 100%. Depuis, je m’entraîne normalement.

Un mot sur le contexte clermontois, largement marqué ces derniers temps par les spéculations autour du successeur de Vern Cotter...

D.Z.: Cela peut paraître difficile à croire mais franchement, entre joueurs, nous n’en parlons pas. Le nouvel entraîneur, ce sera l’an prochain. Clermont est un club où on a toujours travaillé très dur et on continue de se concentrer là-dessus. Cela fait sept ans que l’on travaille avec Vern (Cotter, N.D.L.R.), quatre que l’on travaille avec Franck (Azéma, N.D.L.R.). C’est encore le cas cette année et c’est tout ce qui nous intéresse pour le moment. Le successeur de Vern, les dirigeants s’en occupent. Ils l’annonceront quand le moment sera venu. Mais pour l’instant, ce ne doit pas être notre préoccupation.

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