Toulouse peine à convaincre

  • Thierry Dusautoir - toulouse connacht - 8 decembre 2013
    Thierry Dusautoir - toulouse connacht - 8 decembre 2013
Publié le Mis à jour
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Pendant les fêtes, notre site vous propose un tour d’horizon de la première partie de saison des clubs de Top 14 avec, ce lundi, Toulouse.

LA PERF’: Wembley, leur jardin

La statistique les poursuit comme leur ombre depuis le début de la saison: en sept déplacements en championnat, les Toulousains ne se sont jamais imposés loin de leur base. Heureusement, il y a la H Cup pour compenser cette statistique rarissime pour le Stade toulousain. Et dès leur premier match à l’extérieur sur la scène européenne, les Haut-garonnais ont frappé fort: une victoire chez les Saracens, qui avaient pour l’occasion organisé la rencontre dans l’enceinte superbe de Wembley. Un succès arraché dans l’épreuve du combat et du défi physique, où les Toulousains n’ont jamais lâché un centimètre. Superbe.

LA CLAQUE: L’improbable défaite face au Connacht

Les bénéfices de cette victoire se sont estompés deux mois plus tard. Les Toulousains pourtant engagés dans une poule largement à leur mesure, la victoire aux Saracens devait suffire à leur bonheur. Problème: il fallait ensuite assurer face aux Zebre et au Connacht. Et ce sont justement les Irlandais qui créèrent l’exploit. Devant le public médusé du stade Ernest-Wallon, les joueurs de Pat Lam réussirent l’exploit de venir faire tomber sur sa pelouse le quadruple tenant du titre. Eux qui, jusque-là, n’avaient battu jusque-là que les Zebre...

L’HOMME EN FORME: Gaël Fickou

Le départ à la retraite de l’icône Yannick Jauzion devait lui ouvrir un peu plus d’espace au centre du terrain toulousain. Ce fut effectivement le cas. Titulaire à 10 reprises en championnat, Gaël Fickou continue d’impressionner par sa précocité. Régulier, toujours aussi efficace en défense et précieux par sa vitesse dans une ligne d’attaque qui peine à trouver les bons automatismes, Fickou profite de sa forme du moment pour s’installer également dans le groupe élargi du XV de France. La blessure malheureuse de son coéquipier, Florian Fritz, pourrait d’ailleurs le rapprocher encore un peu du Graal.

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