Tout bonus pour le Stade français

Par Rugbyrama
  • Lyons - Stade français Grenoble - 25 janvier 2013
    Lyons - Stade français Grenoble - 25 janvier 2013
Publié le
Partager :

Le Stade français a réussi une performance de haut vol en s'imposant contre Grenoble avec le bonus offensif. Les Parisiens se sont relancés au classement.

Le Stade Français a brillamment mis fin à la bonne série de Grenoble en s'imposant avec le bonus (35-6) dans son stade de Charlety, où il est toujours invaincu depuis le début de la saison, vendredi lors de la 16e journée de Top 14. Avec cette victoire sans conteste, le club parisien monte à la 9e place du classement - en attendant le match de Biarritz à Toulouse - tandis que le club isérois, qui restait sur six succès toutes compétitions confondues, rétrograde au 6e rang.

Surtout, les hommes de David Auradou peuvent se satisfaire de leurs belles dispositions offensives, concrétisées par 4 essais, malgré les conditions difficiles (-1°C au début de la rencontre, pelouse abîmée). A l'inverse, le FCG, si redoutable à domicile, a paru emprunté et a été bien trop sanctionné pour espérer l'emporter. Pourtant, deux pénalités du demi de mêlée Jonathan Pélissié avaient d'abord donné l'avantage aux Grenoblois, un peu contre le cours du jeu. Le Stade Français avait la main sur le ballon mais peinait à passer le premier rideau défensif adverse. Les partenaires de Pascal Papé revenaient à hauteur autour de la demi-heure de jeu, grâce à la botte de Dupuy, puis ajoutaient un essai, à cinq minutes de la sirène, par le centre Geoffrey Doumayrou, qui exploitait un joli renversement d'attaque et une percée d'Hugo Bonneval.

Paris déroule lors du second acte

Menant 11-6 à la pause, ils étendaient leur emprise en seconde période. Jérémy Sinzelle, parfaitement servi par un coup de pied de Paul Warwick sur son aile gauche, récompensait une belle séquence offensive parisienne en aplatissant (45e). Dupuy transformait, puis empilait une pénalité dans la foulée (21-6, 49e). Le centre Morgan Turinui interceptait ensuite un mouvement grenoblois pour le troisième essai, synonyme de bonus, avant que l'ailier Paul Wiliams ne close la marque, en aplatissant après un gros travail de ses avants.

Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?