Flessel : "Une vraie opportunité à un an des Jeux olympiques"

Bernard Laporte : "Cela s’est très bien passé, nous avions bien travaillé. Cela fait six mois que l’on cherche à convaincre le monde. C’était important de montrer notre volonté et notre détermination. Je tiens à remercier toutes les personnes qui ont travaillé sur notre dossier. Je veux aussi saluer la présence de Jean-Pierre Jouyet qui a été une force supplémentaire."

L'équipe 'France 2023', a souhaité proposer à toutes les formations, même éliminées, de rester en France, pour vivre la compétition jusqu’au bout

Sébastien Chabal : "J’ai eu la chance de participer à deux Coupes du monde. En 2003, où Bernard (Laporte) ne m’a pas fait beaucoup jouer et j’ai eu le temps de découvrir l'Australie. En 2007, sur mon sol, vivre un Mondial était extraordinaire. Toute l’équipe France 2023, a souhaité proposer à toutes les formations, même éliminées, de rester en France, pour vivre la compétition jusqu’au bout. Et le deuxième cadeau, c’est d’organiser la cérémonie de clôture juste avant la finale. Je crois que ce serait génial ! On a donc proposé à World Rugby de faire une belle fête avec les 600 joueurs qui seront présents."

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Laura Flessel : "C'est une candidature de très bonne qualité. L’état s’est engagée à accompagner pour qu’il y ait la Coupe du monde de rugby chez nous. Ce serait une vraie opportunité. Le travail très efficient réalisé par l’équipe 'France 2023', démontre que la France veut accueillir cette Coupe du monde. Je suis fière d’être présente. Je le répète, c’est une vraie opportunité à un an des Jeux."