Bonne nouvelle pour les Bleus: Twickenham est une terre maudite pour l’Italie

11. L’Italie déteste Twickenham

Aussi majestueux soit-il, le stade de Twickenham n’est pas un havre de paix pour l’Italie. On peut même dire que la pelouse anglaise est maudite pour les Transalpins. En 11 matchs officiels, ils n’ont jamais remporté le moindre match (dont deux fois en Coupe du monde). Une statistique qui peut laisser augurer une bonne nouvelle pour les protégés de Philippe Saint-André.

1. France-Italie : acte 1

L’Italie et la France ont disputé toutes les Coupes du monde et pourtant, jamais les deux équipes ne se sont affrontées lors du plus grand rendez-vous du monde ovale. Que ce soit en poule ou lors des phases finales (que l’Italie n’a toutefois jamais atteintes). Le match de samedi à Twickenham sera donc une grande première.

3. La France ne perd presque jamais face à l’Italie

L’Italie est un adversaire qui réussit bien aux Bleus: 36 matchs et 91,6% de victoires, le ratio est largement favorable pour le XV de France qui a infligé quelques belles corrections (un 50-8 en 2009 ou un 60-13 en 1967). Mais par trois fois, les Tricolores ont subi la foudre italienne (40-32 en 1997 ; 22-21 en 2011 et 23-18 en 2013). Les deux dernières ont laissé énormément de traces. En 2011, des joueurs comme Chabal, Jauzion ou Poitrenaud avaient payé la note et manqué le wagon pour le Mondial...

44. La France dans l’histoire de la Coupe du monde

Les Bleus n’ont jamais soulevé le trophée William Webb-Ellis. Et pourtant, ils peuvent se targuer d’être la nation qui a disputé le plus de matchs en Coupe du monde (à égalité avec la Nouvelle-Zélande, deux fois championne du monde). Preuve de la belle régularité de la France dans cette compétition. Face à l'Italie, elle disputera son 44e match de Coupe du monde.

6. L’Italie rate ses entames de Coupe du monde

L’Italie s’est toujours arrêtée aux phases de poules en Coupe du monde. En raison notamment de ses très mauvaises entames. Sur sept matchs d’ouverture, elle en a perdu six. Le seul gagné fut lors de l’édition 91 face aux Etats-Unis (30-9). Les Bleus, eux, sans être rassurants, en ont gagné 5 sur 7 (un nul en 1987 et une défaite en 2007).

3,5. Les piliers italiens souvent pénalisés

Longtemps, la force de l’Italie résidait dans la puissance et la stabilité de sa mêlée. C’est bien moins le cas actuellement. Castrogiovanni est vieillissant et des joueurs comme Perugini ou Lo Cicero n’ont pas trouvé leurs successeurs. Sur les 5 derniers matchs de l’Italie, les piliers ont écopé en moyenne de 3,5 pénalités. Une possible faille à exploiter pour le XV de France, plutôt à l’aise ces derniers temps. D’autant plus avec le temps annoncé, les mêlées pourraient être très nombreuses.