Selon Pelous, Toulouse a retenu la leçon de son échec européen

Au point de sérieusement conditionner le futur des Rouge et Noir si on a bien compris : Nous avons une équipe massive qui correspond très bien au jeu pratiqué en Top 14 mais par rapport à ce que nous ont proposé les Saracens ou l’Ulster, un jeu avec beaucoup plus de vitesse, on a eu plus de mal à rivaliser. C’est quelque-chose qui va rentrer en ligne de compte pour l’avenir du Stade toulousain : aussi bien concernant le recrutement que les méthodes d’entraînement ou la préparation physique. L’objectif c’est justement de tendre vers un jeu plus rapide afin de rivaliser avec ces grosses équipes européennes dans un premier temps puis ensuite les dépasser dans un futur proche.